Considéré par beaucoup comme le livre le plus anciens, le livre d’Enoch rassemblerait les écrits de l’arrière grand père de Noé. Ce manuscrit, comme on peut s’y attendre, ne fais pas partie des livres d’antan relatant le passée de l’Homme par les Eglises chrétienne et la confession juive. Pourtant, il a été incorporé dans l’Ancien Testament des chrétiens éthiopiens.
De nombreux fragments de ce livre ont été retrouvés datant de diverses époques et en divers lieux. Ils sont considérés comme certains en tant que livre historique révélant de nombreuses clés sur la compréhension des Hommes et leurs croyances. On retrouve d’ailleurs d’étranges similitudes avec des faits relatés par la Bible, mais qui aurait été bien antérieur à celle-ci.
De nombreuses traduction ont vu le jour depuis, en grec, en latin, en vieux Slave, et nous servent à reconstituer l’essentiel de l’œuvre de ce mystérieux ascendant de Noé.
Déjà le personnage en lui-même est cité par la Bible, où il est dit qu’il vécut 962 années avant d’être enlevé auprès de Dieu. L’Ecriture déclare que Dieu l’enleva à lui qu’il connaisse la mort, il disparût alors et vécut en communion avec Dieu car il lui avait plu.
Son livre a la particularité de décrire en détail la chute des Anges qui se révoltèrent contre Dieu, et cite clairement des prophétie annonçant la venue de Jésus Christ.
A cause de ces révélations qui incommodèrent le régime totalitaire de l’Eglise de l’époque, le livre d’Enoch disparut intégralement durant près de 1400 ans. C’est finalement sa redécouverte parmi les livre de la mer morte qui lui restitua sa réelle place, car il a été décrété qu’il ne pouvait s’agir d’un faux, la datation remontant au 3ème siècle avant Jésus Christ au moins. Néanmoins, les vives remises en cause que provoquent le manuscrit sur nos idées reçues l’on amené à vite finir aux oubliettes, fermant ainsi le débat sur la souveraineté des Temples et autres Eglises.